La Communication Sensorielle
Comment les chiens développent leur langage non-verbal
: les Inculcations
Dès la mise-bas, la chienne mère active les points de communication sur chacun de ses chiots. Elle utilise son instinct et à chacun des stades bien définis correspond un ensemble de zones à inculquer. Compartiment par compartiment et suivant les stades d'acquisition,
elle va inculquer ce qui formera le langage instinctif, qui est non verbal et sera le socle de toutes leurs capacités relationnelles.
Voici un exemple :
pour inculquer "la suite" à son chiot, la mère active le point sensoriel correspondant, par un premier grattage, un coup de langue ou un simple souffle sur la zone considérée. Elle réveille ainsi l'instinct en provoquant l'élan-réflexe à son chiot pour qu'il la suive. Obligatoirement, à cet instant, la mère aura attendu le moment propice, car le contexte s'y sera prêté dans le relationnel mère-chiot et la mère aura pu suivre les élans de ses instincts maternels qui la poussent à effectuer ces manoeuvres d'inculcation.
Toute intrusion étrangère à la meute à cet instant là diminuera la capacité future du chiot à réagir socialement. En effet la chienne mère ainsi dérangée ne sera pas en mesure de reprendre la phase d'inculcation là où elle l'a laissé.
Comment les chiens utilisent ces compartiments : les instinctivations
La mère va vérifier de multiples fois la présence du réflexe sur le chiot qu'elle inculque, et une fois celui-ci acquis, le chiot pourra non seulement répondre à l'instinctivation, mais il saura appliquer ce même point sur un congénère pour communiquer à son tour.
La Suite, le Couché, le Assis, le Debout, le Reste, le Rappel ... et ainsi de suite, du pistage au mordant ... : toutes les interactions possèdent un ensemble de points de communications pour mettre en place et provoquer les élans requis comme le ferait un congénère.
Des compartiments inscrits au patrimoine génétique du chien :
Il a été clairement démontré que les compartiments sont inscrits au patrimoine génétique du règne canin (voir tome 1 de "Vivre avec son chien", puis Tome 2 partie Psychologie et Analyse).
C'est la chienne-mère (et à moindre degré le chien-père), garante du langage d'inculcation par ses instincts maternels, qui inculque les instincts réflexes à son chiot, ce qui déclenche en lui la capacité de répondre à son propre langage.
Dans un cadre civilisé, lorsque le chiot quitte sa mère, pour être adopté, il revient alors au propriétaire du chien de prendre le relais de ces inculcations, à la suite et à l'identique de ce qu'aurait fait un congénère, pour faire évoluer et si besoin est, réparer (ré-inculquer) les élans d'instinct, en utilisant la méthode d'Hubert Belou-Chapelle.
Porté, Reste, puis Rappel..
... finallement "Donne".
Dès la mise-bas, la chienne mère active les points de communication sur chacun de ses chiots. Elle utilise son instinct et à chacun des stades bien définis correspond un ensemble de zones à inculquer. Compartiment par compartiment et suivant les stades d'acquisition,

Voici un exemple :
pour inculquer "la suite" à son chiot, la mère active le point sensoriel correspondant, par un premier grattage, un coup de langue ou un simple souffle sur la zone considérée. Elle réveille ainsi l'instinct en provoquant l'élan-réflexe à son chiot pour qu'il la suive. Obligatoirement, à cet instant, la mère aura attendu le moment propice, car le contexte s'y sera prêté dans le relationnel mère-chiot et la mère aura pu suivre les élans de ses instincts maternels qui la poussent à effectuer ces manoeuvres d'inculcation.
Toute intrusion étrangère à la meute à cet instant là diminuera la capacité future du chiot à réagir socialement. En effet la chienne mère ainsi dérangée ne sera pas en mesure de reprendre la phase d'inculcation là où elle l'a laissé.
Comment les chiens utilisent ces compartiments : les instinctivations
La mère va vérifier de multiples fois la présence du réflexe sur le chiot qu'elle inculque, et une fois celui-ci acquis, le chiot pourra non seulement répondre à l'instinctivation, mais il saura appliquer ce même point sur un congénère pour communiquer à son tour.
La Suite, le Couché, le Assis, le Debout, le Reste, le Rappel ... et ainsi de suite, du pistage au mordant ... : toutes les interactions possèdent un ensemble de points de communications pour mettre en place et provoquer les élans requis comme le ferait un congénère.
Des compartiments inscrits au patrimoine génétique du chien :
Il a été clairement démontré que les compartiments sont inscrits au patrimoine génétique du règne canin (voir tome 1 de "Vivre avec son chien", puis Tome 2 partie Psychologie et Analyse).
C'est la chienne-mère (et à moindre degré le chien-père), garante du langage d'inculcation par ses instincts maternels, qui inculque les instincts réflexes à son chiot, ce qui déclenche en lui la capacité de répondre à son propre langage.
Dans un cadre civilisé, lorsque le chiot quitte sa mère, pour être adopté, il revient alors au propriétaire du chien de prendre le relais de ces inculcations, à la suite et à l'identique de ce qu'aurait fait un congénère, pour faire évoluer et si besoin est, réparer (ré-inculquer) les élans d'instinct, en utilisant la méthode d'Hubert Belou-Chapelle.

Porté, Reste, puis Rappel..

... finallement "Donne".